Auf den 13 Eingangstüren eines Hochhauses im 18. Pariser Arrondissement sind sorgfältig eine umgekehrte "4" und die Buchstaben "CLT" aufgemalt. Kommissar Adamsberg rätselt über die Bedeutung nach: nur ein spinnertes Graffiti oder verbirgt sich dahinter eine verschlüsselte Drohung?
Ce sont des signes étranges, tracés à la peinture noire sur des portes d'appartements, dans des immeubles situés d'un bout à l'autre de Paris. Une sorte de grand 4 inversé, muni de deux barres sur la branche basse. En dessous, trois lettres : CTL. À première vue, on pourrait croire à l'oeuvre d'un tagueur. Le commissaire Adamsberg, lui, y décèle une menace sourde, un relent maléfique. De son côté, Joss Le Guern, le Crieur de la place Edgar-Quinet, se demande qui glisse dans sa boîte à messages d'incompréhensibles annonces accompagnées d'un paiement bien au-dessus du tarif.