Jean Bosmans schreibt an seinen Erinnerungen über seine Jugendzeit und beginnt sich an Einzelheiten seiner Begegnung mit Margaret Le Coz zu erinnern, mit der er eine paar Monate dauernde Liaison hatte. Was sie zusammen geführt hatte, war eine gemeinsame Ahnung der bevorstehenden Gefahr durch die beginnenden Verfolgungen. Jean Bosmans macht sich auf, nach Margaret zu suchen. Ausgezeichnet mit dem Prix Simone und dem Prix Duca 2010.
Il suivait la Dieffenbachstrasse. Une averse tombait, une averse d'été dont la violence s'atténuait a mesure qu'il marchait en s'abritant sous les arbres. Longtemps, il avait pensé que Margaret était morte. Il n'y a pas de raison, non, il n'y a pas de raison. Meme l'année de nos naissances a tous les deux, quand cette ville, vue du ciel, n'était plus qu'un amas de décombres, des lilas fleurissaient parmi les ruines, au fond des jardins.